Témoignages

«La renommée de ce MSc représente un réel avantage auprès des recruteurs. J’ai été embauché par une entreprise spécialisée dans les équipements portuaires comme ingénieur technico-commercial après avoir diffusé mon CV sur le site de KEDGE BS. J’ai souhaité par la suite me réorienter vers un poste plus opérationnel et j’ai rejoint depuis CMA-CGM en tant qu’agent des opérations portuaires et consignation navires. Je suis aujourd’hui responsable des navires de CMA-CGM en escale sur les ports de Marseille et Fos-sur-Mer.»

« Les conseillers du commerce extérieurs de la France sont fiers d’accompagner ce MSc considéré comme le leader français de la formation en commerce international avec sa spécificité maritime. Il accueille des étudiants venus du monde entier grâce notamment à sa formation assurée en majeure partie en anglais. Les intervenants CCEF sont tous des professionnels qui opèrent chaque jour sur les marchés internationaux. Ils ont grand plaisir à transmettre leur savoir faire aux futurs dirigeants du commerce international, du transport maritime et de la logistique pour lesquels Marseille occupe une place de premier choix.»

J’ai choisi de rejoindre le MSc International Trade and Logistics car celui-ci est l’un des programmes leader dans la formation du commerce international en France. Sa renommée et son enseignement de pointe dans le secteur maritime m’a permis d’obtenir la spécialisation que je recherchais suite à mes 4 ans en International BBA. Les compétences que j’y ai développé m’ont aidé à trouver dans un premier temps mon stage de fin d’études, puis dans un second temps mon premier emploi, tous deux chez des armateurs maritimes. J’ai effectué ce choix de carrière non seulement en raison de ma passion pour le maritime que j’ai développé tout au long de ma formation, mais également du fait de la mobilité internationale que ces compagnies offrent. Je travaille aujourd’hui en temps qu’attaché commercial à la CMA CGM agence France et projette d’effectuer un VIE toujours dans le domaine maritime dans un avenir proche. KEDGE m’a aidé à réaliser mon projet professionnel non seulement d’un point de vue formateur, mais également au niveau du réseau professionnel, qui est très présent tout au long de notre parcours en tant qu’étudiant et en tant que jeune diplômé.

Les matières enseignées permettent de découvrir et d’approfondir les différents aspects du commerce international (transport, logistique, douanes, incoterms, marketing, droit etc…) et d’acquérir ainsi une vision globale. Les études de cas permettent de travailler sur de véritables problématiques d’entreprise et permettent d’apprendre à réfléchir de manière globale. L’étude de cas finale est très formatrice, et la présentation devant un jury composé de professionnels et d’anciens diplômés est non seulement une excellente expérience pour l’étudiant, mais aussi un contact privilégié avec le monde professionnel. Il y a 5 ans j’ai intégré le département logistique de la CMA CGM quelques semaines après la fin du M2. Je suis actuellement Manager logistique équipement spécialisés. Je suis responsable de l’ensemble des flux et stocks de conteneurs spéciaux dans le monde. C’est un métier très prenant qui exige une grande capacité d’adaptation car nous travaillons avec tous les pays du monde, il est ainsi très rare de s’ennuyer !

Je souhaitais compléter ma formation commerciale (diplômée de Sup de Co Marseille) par un 3ème cycle tourné vers l’international. J’ai choisi le CSTM (Centre Supérieur des Transports Maritimes, ancêtre du MSc actuel) parce qu’il était reconnu par l’état au niveau 1 de l’enseignement supérieur, et que c’était à l’époque le seul en France à proposer un enseignement de ce niveau dans ce domaine, dispensé en grande partie par des professionnels. J’ai été aussi attirée par la partie « mission à l’étranger », plus riche qu’un stage en entreprise, proposée par la formation. A la suite de mon diplôme, fin 1981 j’ai été recrutée par le CSTM en tant que responsable pédagogique, pour suivre et orienter les participants dans leur cursus pédagogique et leur mission, recruter et accompagner les intervenants. Le CSTM est devenu le CSTI (Internationaux au lieu de Maritimes), puis s’est élargi à la logistique. En 1989, voulant me rapprocher du monde de l’entreprise, j’ai été recrutée par Syndicat des Transitaires de Marseille, que j’ai dirigé pendant 7 ans. En 1996, à la faveur d’un rapprochement de plusieurs structures associatives, j’ai pris la direction de l’UMF (Union Maritime et Fluviale de Marseille-Fos), la fédération de l’ensemble des professions portuaires ; poste que j’occupe depuis lors. Sans le CSTI, je n’aurais jamais pu avoir les compétences nécessaires pour intégrer le monde maritimo-portuaire marseillais et arriver à ce poste. La mission à l’étranger (en Allemagne et au Danemark pour une étude de marché associée à une étude transport)) a été également très formatrice car c’est une vraie expérience sur le terrain. Je suis actuellement Secrétaire Général de l’UMF, et des associations STM (syndicat des transitaires de Marseille), AACN (association des agents et consignataires de navires), et CMAF (comité marseillais des armateurs de France). Outre les aspects administratifs et de gestion de ces associations, je m’occupe plus particulièrement des relations avec les présidents, de certains dossiers importants (lobbying, promotion de la place portuaire, informatique portuaire (je suis également membre du Directoire de MGI)). J’ai un rôle de représentation de la communauté portuaire vis à vis des administrations, collectivités locales et pouvoirs publics : Douane, GPMM, CD 13, Ville de Marseille, Métropole, Conseil régional, CCIMP, UPE13, Ministères… Je m’attache tout particulièrement à l’animation des professions et à la dynamique de associations, qui doivent répondre aux attentes des professionnels que nous représentons. Je garde un excellent souvenir de cette formation, très professionnelle et enrichissante, et très conviviale. Nous étions très encadrés et suivis par une équipe pédagogique très complète et professionnelle. J’ai toujours en tête la plupart des cours dispensés, qui me servent encore au quotidien : les cours de droit maritime qui ont structuré mes connaissances juridiques sur les métiers du transport maritime, de Douane, administration incontournable dans le cadre des échanges internationaux, anglais, langue de l’international et du shipping…

Après deux premières années passées en master «Grande Ecole», j'ai souhaité donner une couleur fonctionnelle et opérationnelle claire à mon parcours académique. Axé sur le domaine de la Supply Chain, j'ai opté pour le Master Commerce International & Logistique qui a eu lieu en troisième année à KEDGE BS et m'a permis d'obtenir un double diplôme.
La qualité de l'enseignement dispensé par des conférenciers professionnels combinée à des études de cas difficiles et la richesse des profils fréquentant le MSc ont fait de cette année le tremplin idéal pour commencer ma carrière dans le domaine du conseil en chaîne d'approvisionnement. En plus de l'apprentissage des compétences, la dimension internationale donnée au programme est un élément clé pour faire face aux enjeux commerciaux actuels.
"Etant autodidacte, j’avais d’abord besoin de porter un nouveau regard sur mon parcours professionnel pour me revaloriser. Au sein du MBA de KEDGE, je bénéficie d’un suivi personnalisé et d’un environnement qui me permettent de mener à bien mon projet entrepreneurial. J’ai aussi retrouvé avec le MBA l’intensité du haut niveau qu’il me fallait pour nourrir ma reconversion professionnelle."
"Après un PhD et un parcours d'ingénieur réussi chez Siemens, Ericsson et Intel, je voulais que ma carrière s'accélère et passe au niveau 'exécutif'. Le changement que j'ai vécu peut s'apparenter à un 'retournement quantique' dans ma compréhension du management et du leadership. Le Global EMBA de Kedge, avec sa combinaison unique de cours de leadership et de stratégie, son programme de coaching et sa solide filière d'entrepreneuriat, m'a aidé à déployer mes ailes et à m'élever pour fonder PARKEGO, une entreprise d'infrastructure de transport durable. Si je devais le refaire, mon choix serait sans équivoque : Kedge !"

"En choisissant le Global MBA de KEDGE Business School option Supply Chain Management, Gildas Courau, ancien commandant de sous-marin nucléaire, a donné une nouvelle impulsion à sa carrière pour occuper désormais le poste de Directeur de Opérations au sein du leader mondial des services maritimes à l’offshore pétrolier. Rencontre. Pourquoi avez-vous décidé de quitter la marine ? J’ai vécu 17 années merveilleuses au sein de la marine nationale, plus particulièrement dans les sous-marins nucléaires où j’ai fini ma carrière au poste de commandant. J’y ai acquis une grande polyvalence technique et une forte expérience en management des hommes. Toutefois, j’avais atteint mes objectifs. Et, même si j’appréhendais de partir d’un endroit où tout se passait bien pour me lancer dans l’inconnu, j’ai décidé de prendre ma retraite, avec l’idée de me reconvertir dans le monde de l’entreprise en intégrant au préalable un Executive MBA au sein de KEDGE. Qu’est-ce qui a motivé ce choix de formation ? Militaire de carrière, j’étais forcément en décalage par rapport au monde de l’entreprise. Intégrer un MBA intensif de 15 mois était donc une voie assez naturelle pour combler mes lacunes dans des matières spécifiques au business, comme l’organisation des entreprises, la finance… Par ailleurs, j’étais convaincu, et le temps l’a confirmé, qu’en échangeant avec des participants venus d’horizons très divers, j’apprendrais plus rapidement à appréhender les enjeux des entreprises. En quoi l’offre de KEDGE correspondait à vos attentes ? J'ai hésité entre un cursus de perfectionnement lié au Nucléaire - souvent suivi par les anciens militaires puisqu’il touche aux industries de défense - et le Global MBA option Supply Chain & Maritime Management, qui touche un peu à tous les domaines du business maritime : offshore, shipping, économie… Comme je souhaitais partir dans quelque chose de radicalement différent de ce que j’avais pu faire, tout en restant dans le maritime par passion, j’ai choisi le dernier. J'y ai vu une opportunité assez unique de compléter mes connaissances selon un axe business qui m’était inconnu. Aujourd’hui, où en êtes-vous ? Avant même d'être diplômé du MBA, j’ai pu intégrer une entreprise française, Bourbon Offshore, que j’avais ciblée dans mes recherches. Et, je dois dire que KEDGE Business School, à travers une de mes professeurs et ancienne collaboratrice de Bourbon, m’a aidé à amorcer le réseau pour intégrer en qualité de business manager puis de Directeur des Opérations ce leader mondial dans le soutien des plateformes pétrolières offshore. Sans ce MBA, je n’aurais jamais eu ce poste. Comment vous êtes-vous adapté ? En arrivant dans l’entreprise, j’ai été très surpris. Le décalage que j’appréhendais n’était en fait qu’apparent. Là encore, ma formation MBA m’a été très précieuse, car elle m’a aidé à me dégrossir. Je me suis d’ailleurs rendu compte que le secteur de la défense n’était pas si éloigné du monde de l’entreprise. Regrettez-vous votre choix aujourd’hui ? Je n’ai absolument aucun regret. Je pense être parti au bon moment pour être assez enthousiaste sur ce que j’ai fait : deux carrières différentes, très formatrices, qui sont un véritable atout sur le marché de l’emploi et proposent un parcours très différenciant."

"Le programme était 1er en France en 2012 quand je l’ai intégré, ce qui était déjà un atout et un signe de reconnaissance très fort. Le fait que le programme soit bilingue français/anglais m’intéressait beaucoup, car j’avais déjà à l’époque l’envie de partir à l’étranger. Par ailleurs, les nombreuses activités prévues par le programme étaient attractives : Open 13, travail avec Uhlsport et Oreca, voyage d’études à Munich… J’ai été ravie de ce mastère qui m’a donné les clefs pour comprendre le milieu de l’événementiel et du marketing sportif. Aujourd'hui, je travaille au Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques Rio 2016, plus spécifiquement au département des Press Operations. L’objectif de ce département est de faciliter et optimiser le travail de la presse écrite, des photographes et des broadcasters non détenteurs de droits, pendant les Jeux, ce qui représente une population d’environ 6000 accrédités."